Gérard Baglin, Olivier Bruel, Laoucine Kerbache, Joseph Nehme et Christian van Delft
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- Quelle a été l’influence de la libéralisation du commerce mondial sur la fonction industrielle des entreprises ?
- Quelles ont été les grandes étapes dans l’évolution des idées dans le domaine de la gestion industrielle et logistique ?
- Quelles ont été les principales évolutions dans les critères de compétitivité des entreprises industrielles ?
- Quels sont les rapports entre la fonction industrielle et la fonction Marketing ?
- Quels sont les rapports entre la fonction industrielle et la fonction Finance ?
- Quels sont les rapports entre la fonction industrielle et la fonction Gestion des Ressources Humaines ?
- Quels sont les principes du taylorisme ?
- Qu’est ce que la valeur ajoutée économique ?
- Citez des exemples d'organisation du travail par produit et par technologie dans les services que vous utilisez quotidiennement.
- En général, un service n’est pas stockable. Existe-t-il cependant des cas où le travail peut être préparé à l’avance ? À quoi correspond, dans ces conditions, le concept de stock ?
- À quoi servent les « cas d’emploi » dans les nomenclatures ?
- Donnez des exemples de nomenclatures en I, V, A, Y, X.
- À quoi servent les « cas d’emploi » dans les nomenclatures ?
- Que contient une gamme de fabrication ?
- Comment estime-t-on les temps standards de fabrication ?
- Comment le processus d’apprentissage doit-il être exploité au niveau de l’organisation de systèmes de production ?
- En quoi les tailles de lots de fabrication conditionnent-ils les coûts de production ?
Exercice Lenantais
Exercice PFS
Exercice Ping-pong
Exercice DAD
- On a souvent reproché à l’usine de réduire le travail en miettes, c’est-à-dire de confier à chaque opérateur une très faible partie de la fabrication d’un produit. Quel était le but recherché ? Citez les avantages et les inconvénients de ce choix.
- Citez des exemples d'organisation du travail par produit et par technologie dans les services que vous utilisez quotidiennement.
- En général, un service n’est pas stockable. Existe-t-il cependant des cas où le travail peut être préparé à l’avance ? À quoi correspond, dans ces conditions, le concept de stock ?
- En quoi la variété accroît-elle la complexité d’un système logistique?
- La capacité d’une usine dépend à la fois de ses machines et des personnes chargées de les faire fonctionner. En programmant sa capacité future, l’usine doit-elle prévoir un excédent de machines ou un excédent de personnes ?
- Quelles sont les unités de mesure utilisées lors d’un calcul de capacité d’une ressource ?
- Dans certains cas, il est admissible dans une organisation industrielle ou logistique que certaines ressources (machines ou personnel) ne soient que très peu utilisées. Pourquoi ?
- Dans l’exemple de la fabrication de quatre portières d’un véhicule en alternance, supposons que l’on installe un dispositif permettant de réduire le temps de changement de l’outil à une heure. Quelles décisions peut-on prendre ? Existe-t-il plusieurs choix possibles sur la façon d’exploiter ce progrès en réorganisant le flux ?
- Quelles sont les conséquences des deux approches fondamentales de stratégie générale sur le système industriel d’une entreprise ?
- Les deux stratégies fondamentales sont la domination par les coûts et la différenciation qui peuvent concerner le secteur tout entier ou un segment de marché particulier. Rappelez-en les arguments et les résultats recherchés.
- Qu’entend-on par métier d’une entreprise ?
- Quels sont les avantages et les risques d’une grande intégration verticale ?
- Quels sont les principaux critères de focalisation des unités de production ?
- Quels sont les grandes classes d’investissements industriels ou logistiques ?
- Définissez la notion de technologie flexible. Quels en sont les avantages ?
- Selon la stratégie adoptée, on organise son système industriel soit par couples produitsmarchés, soit par processus technologiques. Commentez.
- Les nouvelles technologies de production permettent la conception de processus à la fois flexibles et très productifs. Commentez.
- L’automatisation des moyens de production entraîne une augmentation des coûts fixes et une diminution des coûts variables. Commentez.
- Les entreprises industrielles ont tendance à se recentrer sur leur « métier de base » et donc à diminuer leur degré d’intégration verticale. Pour quelle(s) raison(s) et quelles en sont les conséquences ?
- La planification des investissements d’une unité industrielle doit être réalisée conjointement à un plan de sous-traitance de façon à assurer la continuité de l’équilibre charge/capacité. Selon quelle logique sous-traitance et production interne se complètent-elles ?
- Dans la majorité des cas, l’augmentation de capacité ne peut se faire que par tranches et non pas de façon continue. Commentez cette affirmation en la justifiant.
- Les décisions d’investissement peuvent modifier l’équilibre concurrentiel du marché. Aussi doivent-elles être replacées dans le cadre d’une stratégie globale. Quels en sont les critères de cohérence ?
- Les critères financiers de choix d’investissement doivent être complétés par des critères qualitatifs tels que l’amélioration de la qualité ou de la flexibilité. Tous les critères de décision peuvent-ils se traduire sous forme économique chiffrée ?
- Vous fabriquez des ensembles mécano-soudés. Pour des raisons de conditions de travail et d’amélioration de la qualité, vous décidez de remplacer les quatre postes de soudage manuels en simple équipe (8 h par jour) par un poste robotisé en double équipe (nécessitant un opérateur par équipe pour l’alimentation). Quels sont les éléments à prendre en considération dans l’évaluation de cet investissement ?
Exercice Walters
- Quels sont les facteurs qui ont permis le développement de la notion de Supply Chain ?
- Décrivez la notion d’ « entreprise étendue ».
- Trois niveaux d’évolution du système logistique global d’entreprise sont communément évoqués : organisation fonctionnelle, supply chain intégrée, supply chain élargie (ou étendue). Dressez un tableau comparatif multicritères simple pour illustrer leurs principales différences.
- Résumez simplement les éléments principaux du modèle SCOR et listez les principaux processus qui le composent.
- Quels sont les principes et les différences fondamentales des deux approches MTO (Make-to-Order) et MTS (Make-to-Stock) ?
- Pourquoi faut-il segmenter les couples produits-clients d’une entreprise du point de vue de l’approche Supply Chain ? Quels peuvent être les critères de segmentation ?
- Quelles sont les caractéristiques principales d’une supply chain « efficiente » (minimisation des coûts) et d’une supply chain « flexible » ?
- En quoi une conception modulaire et une différenciation retardée des produits permettentelles de mettre en place une supply chain à la fois efficiente et réactive ?
- Quels sont les éléments principaux du choix entre une approche « push » et une approche « pull » dans la structuration d’une supply chain ?
- En quoi la méthode du barycentre pour déterminer la localisation d’un entrepôt est-elle théorique ?
- Quelle organisation retient-on pour la distribution physique des produits à faible rotation et pourquoi ?
- Quelles difficultés rencontrez-vous dans la formalisation du problème de détermination de la structure d’un réseau ?
- Quels facteurs peuvent limiter le principe de réduction du niveau de stock parallèlement au nombre de dépôts ?
- Pourquoi, dans la plupart des cas, les grandes enseignes de distribution ne font-elles pas approvisionner directement les magasins par les producteurs ?
- Comment s’explique l’évolution de la structure de l’offre de prestations logistiques sur le marché européen ?
- Quelle organisation retient-on pour la distribution physique des produits à faible rotation et pourquoi ?
- Quels avantages et inconvénients y-a-t-il pour une entreprise à sous-traiter l’ensemble de sa distribution physique ?
Exercice Lidor Feuille de préparation Lidor Exercice Alimat Feuille de préparation Alimat Exercice Produlact Feuille de préparation Produlact
- Dresser un tableau comparatif détaillé des caractéristiques et risques de l’achat d’un composant standardisé et de celui d’une pièce mécanique spécifique faite en sous-traitance selon un cahier des charges détaillé.
- Le service Achats doit-il être responsable de la gestion de tous les stocks amont (matières et composants) ? Si oui, pour quelles raisons ? Fournissez exemples et justifications.
- On emploie souvent le vocable de panel fournisseurs. A quoi cela correspond-il ? Est-ce différent d’un fichier fournisseurs ? Comment est-il constitué (principes et processus) ?
- Vous avez pour mission de définir le cahier des charges d’un logiciel devant traiter la gestion courante des achats. Quels doivent être les points principaux figurant dans ce document ?
- Dresser un tableau synthétique de toutes les formes de collaboration qu’un donneur d’ordres peut établir avec ses fournisseurs. Vous illustrerez tous les cas d’exemples simples.
- Rappelez les différents facteurs de risque à analyser dans une démarche d’achat internationale.
- Vous êtes membre du service central d’achat d’un groupe industriel d’équipements électroniques. Vous souhaitez laisser une grande initiative d’achat aux unités décentralisées tout en vous assurant de la cohérence et de l’optimisation de l’ensemble des achats au niveau groupe. Vous vous engagez dans la rédaction de votre manuel Politique d’Achat. Quels seront les éléments constitutifs de votre document ? Indiquez les raisons de vos choix et la structure que vous mettriez en place.
- Vous êtes responsable des achats de composants auprès des équipementiers chez un constructeur automobile. Indiquez quelle serait la structure de votre système d’évaluation des fournisseurs. Pourquoi ?
- Le directeur des achats doit-il être membre du comité de direction de l’entreprise ? Si oui, pourquoi ?
- Quel serait, selon vous, la structure type d’un contrat-cadre avec un fournisseur ? Vous répondrez à cette question dans l’esprit d’une co-traitance s’exerçant sous forme d’un partenariat.
Exercice Pompelec Exercice Solipan Exercice Plastimar Feuille de préparation Plastimar Exercice Superflight
- Quel type de méthodes (quantitatives, causales ou qualitatives) choisiriez-vous pour prévoir la demande sur les trois mois à venir d’articles vendus dans un supermarché ?
- Entre la moyenne mobile pondérée et le lissage exponentiel, quelle méthode choisiriez-vous pour un produit dont la structure de la demande ne présente ni tendance, ni saisonnalité ?
- Quelle est l’influence du choix du coefficient de lissage sur le comportement d’un modèle de lissage exponentiel ?
- Entre les fonctions Gestion commerciale, Marketing, Logistique et Finance, lesquelles sont les plus capables d’élaborer une bonne prévision et pourquoi ?
- Pourquoi analyse-t-on deux écarts de prévision, l’écart algébrique moyen et l’écart absolu moyen ?
- Peut-on utiliser une régression simple quand la structure de la demande présente une tendance ? Comment ?
- Pourquoi la détection et la correction des valeurs anormales sont-elles des étapes du processus de prévision qui deviennent de plus en plus importantes ?
- Dans le milieu des prévisionnistes, il est souvent répété que les méthodes mathématiques de modélisation ne représentent qu’une partie de la problématique de prévision. Quelles sont alors les autres difficultés à résoudre ?
- Quelle est le lien entre PIC et prévisions des ventes ?
- Pourquoi le PIC est-il réalisé par familles de produits et non par produits individuels
- Comment associer les typologies de systèmes logistiques et les grandes caractéristiques des PIC associés ?
- Pourquoi les stocks d’anticipation ne sont-ils pas systématiquement constitués des articles les moins chers ?
- En quoi l’amplitude de l’aléas sur les ventes futures influe-t-elle sur les stratégies de PIC retenues ?
Exercice CetC Feuille de préparation CetC Exercice Davis Feuille de préparation Davis Exercice Courtine Feuille de préparation Courtine
- Doit-il y avoir une cohérence entre le PIC et les PDP ? Pourquoi ?
- Pourquoi les horizons des PDP sont-ils plus courts que les horizons des PIC ?
- Quelles sont les liens entre PDP et DRP ?
- Qu’entend-on par double éclatement du PIC ?
- Quels sont les éléments indispensables à la bonne maîtrise d’un système géré par la méthode MRP ?
- Que pensez-vous de l’introduction d’une demande incertaine, déterminée par un modèle de prévision, dans une procédure très mécanique telle que la MRP ?
- Pourquoi ne gère-t-on pas les différents composants d’une nomenclature de façon indépendante selon un modèle de gestion de stock classique ?
- Comment détermine-t-on les décalages pris en compte dans le jalonnement des besoins ?
- Quels sont les avantages et les inconvénients du regroupement des besoins ?
- Qu’appelle-t-on origine du besoin ? traçabilité ?
- Qu’est ce que le lissage de charge ?
- Quelles sont les difficultés liées à la mise en œuvre de la MRP ?
- Peut-on utiliser la planification hiérarchisée et la méthode MRP dans tous les secteurs de l’industrie ?
- Dans un système à point de commande, quand la taille de la commande augmente, comment évoluent les coûts de détention et les coûts de passation de commande ?
- Dans un système à recomplètement périodique, quand la périodicité de commande augmente, comment évoluent les coûts de détention et les coûts de passation de commande ?
- Quelles sont les conditions d’application de la formule de la quantité économique ?
- Quels sont les coûts à prendre en compte lorsque le fournisseur propose une remise sur quantité ?
- Quel système de gestion de stock faut-il choisir lorsque la demande présente une forte variabilité ?
- La quantité économique augmente-t-elle ou diminue-t-elle lorsque la commande n’est pas livrée en une seule fois ? et pourquoi ?
- À quoi sert l’analyse ABC dans la gestion des stocks ?
- À paramètres constants et protection égale, comment se comparent les stocks de sécurité dans le système à point de commande et le système à recomplètement périodique ?
- Reconstituer les stocks moyens en fonction des paramètres des modèles de gestion de stock, en révision périodique avec point de commande et en révision périodique avec seuil ?
- Qu’appelle-t-on l’effet « Bullwhip » ? Citer et commenter un exemple simple d’un secteur où cet effet est particulièrement illustré.
- Quelles sont les causes principales des phénomènes de fluctuation et d’amplification constatés dans une chaîne logistique dont les différents niveaux agissent de façon indépendante ?
- Pour chacune d’entre elles (cf. question 2), citez trois actions concrètes à mettre en œuvre pour limiter ou supprimer l’effet constaté. Quelles sont les difficultés susceptibles d’être rencontrées et comment les dépasser ?
- Choisissez un secteur industriel où la dualité « Produits standardisés » / « Produits innovants à courte durée de vie » apparaît clairement. Illustrez ensuite les arbitrages principaux à faire du point de vue de la régulation de la chaîne logistique selon les produits.
- Croyez-vous à l’affirmation selon laquelle l’intégration verticale de toute la chaîne logistique par l’entreprise-producteur serait LA solution à préconiser ? Commentez.
- Quelles mesures de performances (indicateurs) vous sembleraient pertinentes concernant la GPA ? Commentez.
- Qu’est-ce que le CPFR ?
- Quels avantages les entreprises peuvent-elles tirer d’Internet dans la gestion de leurs approvisionnements ?
- Décrivez le principe du cross docking.
- Quels liens entre le Quick response et le juste-à-temps ?
Exercice Picking Feuille de préparation Picking Exercice Dourlat Feuille de préparation Dourlat
- Comment peut-on expliquer la prédominance de la route sur les autres modes de transport en Europe ?
- Dans la majorité des cas, la question du choix du mode de transport se pose-t-elle vraiment ?
- Quels avantages présente la sous-traitance du transport pour un industriel ?
- Pourquoi certains industriels préfèrent-ils la location à la sous-traitance ?
- La vente au consommateur sur internet engendre une demande de transport de petits colis dans un délai très court. Comment celle-ci est-elle satisfaite ?
Exercice Delivery Exercice Pack-Bière Exercice Caskex Feuille de préparation Caskex Exercice Distri Feuille de préparation Distri Exercice Distri
- Quels sont les points clé à surveiller dans une production continue ?
- Comment les automobiles étaient-elles construites avant que Ford n’invente la chaîne de montage ? Était-il possible d’envisager un développement de cette industrie en l’absence d’une telle innovation ? Pourquoi ?
- Sur une ligne de montage, un responsable d’atelier doit placer les opérateurs. Vaut-il mieux placer les opérateurs les plus lents au début, au milieu ou en fin de ligne
- Une entreprise fabrique des articles d’habillement (pantalons, blousons, combinaisons). Elle a spécialisé ses usines par familles homogènes de produits : l’une d’entre elles, disposant de deux chaînes de montage, réalise les pantalons jeans en 15 modèles différents. Ceux-ci sont lancés en lots représentant entre 2 et 5 jours de fabrication sur une des chaînes. Quels problèmes différents de planification la directrice de l’usine a-t-elle selon vous ?
- L’usine dont vous êtes responsable comporte trois chaînes parallèles. Les délégués du personnel souhaitent la mise en place d’horaires variables (embauche le matin de 8 h à 10 h, sortie le soir entre 17 h et 19 h, cumul hebdomadaire de 39 heures à respecter). Quelle sera votre position ?
- En pratique, de nombreuses usines (organisées en lignes de production) structurent leur atelier en deux parties : des chaînes spécialisées d’une part, dédiées à la réalisation des références standards à gros volume, et des chaînes polyvalentes et flexibles d’autre part pour des références variées et moins vendues. Justifiez ce type d’organisation et précisez les problèmes et enjeux spécifiques rencontrés selon vous.
- Quels sont les avantages et les inconvénients d’une implantation de ligne de fabrication en U ?
Exercice PetitMom Feuille de préparation PetitMom Exercice Frame Feuille de préparation Frame Exercice Copieur Exercice Electra Feuille de préparation Electra Exercice Caméra
- Quels sont les avantages et les inconvénients de la procédure d’ordonnancement centralisé ?
- Le principal problème dans l’atelier est-il celui de l’ordonnancement ou de la gestion à court terme de la capacité ?
- Qu’appelle-t-on chevauchement ?
- Par rapport à quels critères peut-on juger de la qualité d’un ordonnancement ?
- Citez quatre règles de priorité d’ordonnancement par gestion de files d’attente.
- Dressez un tableau comparatif détaillé des principes de base, des avantages et inconvénients respectifs des systèmes de planification à court terme d’atelier centralisé et par règles de priorité.
- Quel intérêt présente pour l’entreprise le suivi des OF et leur valorisation ?
- Dans un système kanban, comment est déterminé le niveau de l’en-cours ?
- Quelles sont les différences entre les systèmes dits « à une boucle » et « à deux boucles » ?
- Comment peut-on organiser un système kanban avec des fournisseurs extérieurs ?
- Vous défendez auprès de votre directeur général le projet d’investissement dans un système de MAO. Quels sont vos arguments (objectifs et gains attendus) ? Quelles sont les difficultés à prévoir ?
- Quelle différence y-a-t-il entre la maintenance classique et le TPM ?
- Quelles sont les principales étapes de la méthode SMED ?
- Qu’est ce que l’AMDEC ?
- Qu'est ce qu'une mauvaise implantation ?
- Quels sont les coûts qui entrent en jeu dans les décisions d’implantation ?
- Quel est le principe de la méthode des chaînons ?
Exercice Batteries Feuille de préparation Batteries Exercice Valves Exercice Équipe Exercice CFE Feuille de préparation CFE Exercice SudAssur
- Quelles sont les étapes d’une boucle qualité ? Décrivez chaque phase en détail.
- Un objectif « zéro défaut » est-il pertinent ? Est-il réaliste ?
- On évalue souvent un COQ (coût d’obtention de la qualité). De quels éléments est-il constitué et quelle peut-être son utilité ?
- Dans beaucoup d’usines, on estime que les opérateurs ne doivent pas contrôler leur propre production.
« On ne peut pas être juge et partie », déclare-t-on. Est-ce votre avis ?- En quoi l’approche préventive de la qualité est-elle très supérieure à une approche « corrective » ?
- Décrivez en détail les principes et les méthodes de la Maîtrise Statistique des Procédés (assurance-qualité des processus).
- Quels sont les principaux outils méthodologiques d’amélioration de la qualité ?
- Quels sont les avantages de la normalisation ISO 9000 pour les entreprises ?
Exercice Pantalons D18 Exercice Proqual Exercice Capa Exercice Rectif Exercice Sonar
- Quels sont les motivations des entreprises pour mettre en place le Juste-à-temps ?
- Les méthodes classiques de gestion et, en particulier la MRP, permettent-elles d’accéder au JAT ?
- Que donnerait la mise en place du JAT dans une entreprise n’ayant pas procédé aux réorganisations requises ?
- Quelles sont les implications du JAT au niveau des ateliers ?
- Quelles sont les limites du JAT ? Citez des activités qui ne peuvent être organisées en JAT.
- Qu’est ce qu’une opération sans valeur ajoutée ?
- Citez les grands principes de la Lean Production.
Exercice Usinac Feuille de préparation Usinac Exercice Bocaro Feuille de préparation Bocaro Exercice Logisa Feuille de préparation Logisa Exercice Tensioflux Feuille de préparation Tensioflux
- Quels sont les objectifs de la gestion de projets ?
- Quelles sont les informations nécessaires pour construire un graphe ?
- Le chemin critique peut-il changer pendant l’exécution du projet ? Pourquoi ?
- Quelle est la différence entre la marge libre et la marge totale ?
- En quoi le CPM et le PERT constituent-ils des outils de gestion ?
- Énumérez des projets qui vous semblent justifier l’utilisation des méthodes exposées dans ce chapitre.
- Quels avantages et inconvénients présente l’organisation en mode projet par rapport à l’organisation matricielle ? Dans quels cas les utilise-t-on ?
- Comment évalue-t-on l’avancement d’un projet et de ses différentes tâches ? Quelles difficultés rencontre-t-on ?
Exercice Cabinet Danielli Exercice Isaplane Exercice KDO Exercice La station de ski Exercice SGTB Exercice Toukilui